La caricature des experts comptables est souvent facile et régulière. Elle se résume
par : « c’est un homme nous ne
voyons jamais, ou qu’une fois par an, qui nous assomme d’informations que nous
ne comprenons pas, et a qui nous faisons régulièrement des chèques … .
Bref nous sommes considérés comme un mal nécessaire et une annexe
des impôts … ! » (confondant règlement des factures et des administrations)
Même si cette présentation est exagérée, elle n’est pas loin de la réalité.
Que faisons-nous pour la faire évoluer à
notre bénéfice (et celui de nos clients) ?
Il s’agit bien là de PERCEPTION, car nos prestations sont de qualité, mais trop peu de nos
clients, surtout les plus petits, ne comprennent pas l’intérêt de nos
interventions et des informations que nous leur transmettons car ce n’est pas
dans leur culture, et n’en voit pas
l’intérêt alors qu’ils sont les 1ers concernés. (Cette
affirmation est à modérer avec les nouvelles générations)
A cette
notion de « coût » auquel sont actuellement associées nos prestations,
il faut les faire muter vers les notions de SERVICES, de VALEUR AJOUTE.
il faut les faire muter vers les notions de SERVICES, de VALEUR AJOUTE.
Il faut nous remettre en cause et, non pas changer nos
prestations (même si nous devons consolider la part de conseil et d’accompagnement),
mais LA PERCEPTION DE NOS INTERVENTIONS.
Pour cela nos interventions doivent prévoir :
- - le moyen pour des contacts réguliers,
- - de dissocier les interventions
« légales » de la partie accompagnement et conseil,
- - de valoriser notre accompagnement par de la
pédagogie.
Nos cabinets sont composés d’équipes avec des profils très
différents, entre les TECHNICIENS très performants et attachés à leur SAVOIR et SAVOIR FAIRE, et ceux plus « communiquant
/ pédagogique », par leur sensibilité, qui sont plus dans le SAVOIR ETRE dans les relations.
La solution passe impérativement par l’organisation du cabinet avec la séparation entre ceux qui sont en contact avec nos client (le front office) et ceux qui produisent les prestations (le back office).
La solution passe impérativement par l’organisation du cabinet avec la séparation entre ceux qui sont en contact avec nos client (le front office) et ceux qui produisent les prestations (le back office).
La solution est donc dans le fond et la forme de nos
interventions.
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